Tamar Zinguer, chercheuse au Programme d’accueil 2014, analyse la propension dans la discipline architecturale pour un terme littéraire « degré zéro », exprimant une quantité précise, articulant une pluralité de zéros et de différentes modalités du néant.
![MONTRÉAL EVENT-Le degré zéro de l'architecture](https://duccnguyen.wordpress.com/wp-content/uploads/2014/07/montrc3a9al-event-le-degrc3a9-zc3a9ro-de-larchitecture.jpg?w=880)
Page 88-89 de Christian Zervos, La civilisation de la Sardaigne du début de l’énéolithique à la fin de la période nouragique, IIe millénaire-Ve siècle avant notre ère. Paris : Cahiers d’art, [1954]. Collection CCA. Photographie par David Weill. Dessins par Christian Zervos
Prémisse :
Lorsqu’en 1953, Roland Barthes publie son premier livre, Le degré zéro de l’écriture, il avait l’intention de montrer que si l’écriture était dépourvue de toute signification qui lui était périphérique ou extérieure, elle pouvait devenir radicale et révolutionnaire.